Acheter des Bitcoins:Pourquoi ?

En 2021 tous le monde a déjà entendu parler du Bitcoin et beaucoup on déjà acheter des Bitcoins.

Le Bitcoin n’était pourtant  pas du tout connu du grand publique il y a quelque années .

En 2009 lors de sa création par notre cher ami Satoshi NAKAMOTO , le BITCOIN n’étaient utilisé que par quelques passionnés qui voulaient changer le monde et sortir de l’esclavage du système bancaire .

Leur but n’étaient pas de s’enrichir financièrement mais bien de participer à une aventure qui allait sauver les Hommes.

Une monnaie décentralisée , non gérée par les banques ou les gouvernements.

Des frais de transactions qui a l’époque étaient dérisoires , une facilitée et rapidité d’utilisation.

Toute les conditions étaient réunies pour créer une révolution , et cette révolution est bien arrivée , et nous commençons à la ressentir  maintenant à l’heure où même le grand publique commence à s’intéresser au Bitcoin et autres Crypto-Monnaies .

Pour comprendre l’idée originelle du BITCOIN il faut remonter à ses origines et intéresser à ces 3 ouvrages :

  • Le « Manifeste Crypto-Anarchiste » de Tim May (1992) est une déclaration d’orientation libertaire, souhaitant attirer l’attention des anarchistes traditionnels sur les possibilités offertes par les technologies informatiques. Le manifeste avance que « la crypto-anarchie permettra de faire circuler librement les secrets nationaux et de vendre des matériaux illicites ou volés », et que « les méthodes cryptologiques altèreront fondamentalement la nature de l’interférence du gouvernement et des grandes sociétés dans les transactions économiques ». L’idée est d’utiliser le chiffrement sur le réseau d’échange mondial, d’anonymiser les discussions privées, de tout diffuser à tout le monde, et de démanteler « le fil de fer barbelé qui entoure la propriété intellectuelle ». Par là, le hacking devient l’activité cyberpunk par excellence.
  • Le « Manifeste d’un Cypherpunk » d’Eric Hughes (1993) reprend les mêmes thèmes. Il s’agit pour lui de « préserver la vie privée » au moyen d’un « système d’échanges anonymes ». Les cypherpunks, dont il se réclame, ont alors pour tâche d’écrire des programmes de chiffrement, contre les gouvernements et les compagnies qui souhaitent, selon lui, rendre publiques tous les échanges afin d’asseoir leur contrôle.  « Les Cypherpunks sont activement engagés à rendre les réseaux plus sûrs pour la vie privée. »
  • Enfin, le « Cyberpunk Manifesto », de Christian As. Kirtchev (1997), en plus de reprendre les thèmes susdits (transactions anonymes, liberté totale de circulation des informations, etc.), s’amuse à décrire le mode de vie des cyberpunks et des hacktivistes du net, confirmant leur isolement et leur insociabilité. Le cyberpunk des années 1990 semble alors radicalement inadapté à son époque, écartelé entre sa référence à un genre littéraire qui n’existe plus et son aspiration à un univers ultra-technologisé qui n’est pas encore. « Nous vivons au bon endroit, mais pas au bon moment ».

Manifeste d’un Cypherpunk

par Eric Hughes 9 mars 1993

La vie privée est nécessaire pour une société ouverte dans l’ère électronique. La vie privée n’est pas un secret. Une affaire privée est ce qu’un individu ne veut que le monde entier sache, mais une affaire secrète est ce qu’un individu ne veut que quiconque sache. La vie privée est le pouvoir de se révéler sélectivement au monde.

Lorsque deux partis ont une certaine forme d’échange, chacun possède ensuite un souvenir de leur interaction. Chaque parti peut parler de son propre souvenir de l’ échange; comment quelqu’un pourrait-il empêcher cela? Des lois pourraient être adoptées contre cela, mais la liberté d’expression, encore plus que celle de la vie privée, est fondamentale à une société ouverte; nous ne cherchons en aucun cas à restreindre quelque expression qu’elle soit. Si plusieurs partis dialoguent au sein d’un même forum, chaque parti peut communiquer avec tout le reste et agréger ensemble leur connaissance sur les individus et les autres partis. Le pouvoir des communications électroniques a permis une telle expression de groupe, et cela ne peut disparaître simplement parce que nous pourrions le souhaiter.

Puisque nous désirons une vie privée, nous devons nous assurer lors d’un échange que chaque parti ait seulement connaissance de ce qui sera directement nécessaire à cet échange. Puisque n’importe quelle information peut être évoquée, nous devons nous assurer que nous en révélons le moins possible. Dans la plupart des cas l’identité personnelle n’est pas mise en évidence. Quand j’achète un magazine dans une boutique et que je tends des espèces au vendeur, il est inutile de savoir qui je suis. Quand je demande à mon prestataire de services réseau d’envoyer et de recevoir des messages, mon prestataire n’a pas besoin de savoir avec qui je parle ou ce que je dis ou ce que les autres me disent; mon prestataire a seulement besoin de savoir comment il va envoyer le message et combien je lui dois pour le service fourni. Quand mon identité est révélée par le mécanisme sous-jacent de l’échange, je n’ai aucune vie privée. Je ne peux ici choisir ce que je dévoile de moi-même; je devrais toujours me révéler.

Par conséquent, la vie privée dans une société ouverte requiert des systèmes d’échanges anonymes. Jusqu’à présent, l’argent liquide a été le moyen principal d’un tel système. Un système d’échanges anonyme n’est pas un système d’échanges secret. Un système anonyme renforce le pouvoir des individus à révéler leurs identités quand ils le désirent et seulement quand ils le désirent; c’est l’essence-même de la vie privée.

La vie privée dans une société ouverte requiert également la cryptographie. Si je dis quelque chose, je veux que cela soit entendu uniquement par ceux à qui le message était destiné. Si le contenu de mon message est ouvertement disponible au monde, je n’ai pas de vie privée. Crypter, c’est indiquer le désir d’une vie privée, et crypter avec une faible cryptographie est l’indication d’un désir faible pour une vie privée. En outre, révéler son identité avec assurance lorsque l’anonymat est par défaut requiert une signature cryptographique.

Nous ne pouvons attendre des gouvernements, des entreprises et des autres organisations majeures sans visage de nous accorder une vie privée par acte de bienveillance. C’est à leur avantage de parler de nous, et nous devrions nous attendre à ce qu’ils le fassent. Tenter de les en empêcher, c’est se battre contre les réalités du renseignement. Le renseignement ne veut pas juste être libre, il est avide de liberté. Le renseignement tend à remplir l’espace de stockage disponible. Le renseignement est le plus jeune, le plus fort des cousins de la Rumeur; le renseignement a le pied plus léger, a plus d’yeux, en connaît davantage, et comprend moins que la Rumeur.

Nous devons défendre notre vie privée par nous-mêmes si nous nous attendons à en avoir une. Nous devons nous rassembler et créer des systèmes qui nous permettent d’arriver à des échanges anonymes. Les gens ont défendu leurs propres vies privées pendant des siècles par des murmures, l’obscurité, des enveloppes, des portes fermées, des poignées de main secrètes, et des messagers. Les technologies du passé ne permettaient pas une confidentialité solide, les technologies électroniques le permettent.

Nous les Cypherpunks sommes dévoués à construire des systèmes anonymes. Nous défendons notre vie privée avec la cryptographie, avec des systèmes de renvoi anonymes, avec des signatures digitales, et avec une monnaie électronique.

Les Cypherpunks écrivent du code. Nous savons que quelqu’un doit élaborer des logiciels défendant la vie privée, et puisque que nous ne pouvons avoir de vie privée à moins que nous tous en soyons pourvus, nous allons les réaliser. Nous publions notre code afin que nos semblables Cypherpunks s’entraînent et jouent avec. Notre code est libre à tous d’être utilisé, dans le monde entier. Nous ne nous en soucions guère si vous n’approuvez pas les logiciels que nous développons. Nous savons qu’un logiciel ne peut être détruit et qu’un système largement répandu ne peut être arrêté.

Les Cypherpunks déplorent les régulations sur la cryptographie, le cryptage étant fondamentalement un geste privé. En fait, le geste de crypter retire le renseignement du domaine public. Même les lois jusqu’ici contre la cryptographie atteignent seulement la frontière d’une nation et le bras de sa violence. La cryptographie va inéluctablement se répandre dans l’ensemble du globe, et avec elle les systèmes d’échanges anonymes qui la rendent possible.

Pour que la confidentialité soit largement répandue faut-il qu’elle fasse partie d’un contrat social. Le peuple doit se rassembler et déployer ensemble ces systèmes pour le bien commun. La vie privée ne peut s’étendre que grâce à la coopération entre les membres d’une société. Nous les Cypherpunks sollicitons vos questions et vos inquiétudes et espérons que vous puissiez vous engager afin que nous ne nous fassions pas d’illusions. Nous ne nous ferons cependant pas dévier de notre course sous prétexte que certains désapprouveraient nos objectifs.

Les Cypherpunks sont activement engagés à rendre les réseaux plus sûrs pour la vie privée. Avançons ensemble en vitesse.

En avant.

Eric Hughes<hughes@soda.berkeley.edu></hughes@soda.berkeley.edu>

9 mars 1993

Comme vous le comprenez donc , le Bitcoin à son origine n’a pas été créé pour spéculer ou pour être réguler par les gouvernements mais comme une arme révolutionnaire que personne ne pourrai arrêter ou controller. Presque 20 ans après ces écrits , le Bitcoin naissait et les premiers initiés commençaient a faire les premier échanges en Bitcoin alors que le prix d’un Bitcoin était proche de zero.

Seuls quelques avangardistes y croyait et on souvent de manière totallement bénévoles aidés au développement du Bitcoin souvent en offrant des Bitcoins gratuitement à qui le voulait bien.

Une partie de ces aventuriers compris qu’il était possible de s’enrichir avec le bitcoin .

Ceux qui avaient de quoi investir ouvrirent des mines à bitcoin , des plateformes d’échanges , des fonds d’investissement privés.

D’autres décidèrent de créer leur propre crypto-monnaies tel que l’Etherum

Certains autres comme Ross Ulbritch l’utilisèrent pour créer des réseaux criminels d’ampleur jusque la jamais vus auparavant en créant des sortes de Ebay de la drogue où tout les paiements étaient effectués en bitcoins.

Une génération de « geeks » enfermés durant leur jeunesse devant un ordinateur étaient en train de prendre leur revanche . Ils devenaient les nouveaux millionnaires , les nouveaux banquiers , les nouveaux Pablo-escobars des temps modernes.

Les suivants a sintéresser au bitcoin ont été les businessman et les mafias classique.
Ils comprirent que c’était un outil formidable pour le blanchissement d’argent. Mais les organisations mafieuses utilisant cette monnaie pour des transactions ne sont pas si nombreuses que ça contrairement à ce que l’on peu lire dans la presse non spécialisée.

Il apparait clair que l’évolution qu’a connu le Bitcoin entre les années 2013 a fin 2016 et due presque exclusivement aux activités criminelles de personnes utilisant le bitcoin ainsi qu’aux mineurs de bitcoin Chinois qui possédaient a eux seul la plus grande partie des Bitcoins disponibles.

Ce n’est qu’au début 2017 que le grand public et les médias classiques s’y sont intéressée en masse.

La fin 2017 n’a été que la confirmation de l’intérêt porté au bitcoin par de plus en plus de monde.

Aujourd’hui , même les plus grandes banques et groupes financiers investissent dans le Bitcoin et dans la technologie extraordinaire qu’est la blockchain .

Le marché n’est donc pas près de s’écrouler. On peut s’attendre cette année a une évolution spectaculaire et probablement a long terme a une modification profonde du système bancaire classique voir à son écroulement pur et simple au bénéfice des nouvelles crypto-monnaies tel que le Bitcoin .

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